
Pourquoi raconter des histoires de l’esclavage ? À partir de quelles traces, souvent occultées effacées ? Comment réinscrire, dans notre histoire, les trajectoires individuelles de tous ceux qui ont subi et subissent encore l’esclavage ?
À l’occasion de la Journée de commémoration de l’esclavage en France, le 10 mai, entretiens avec :
- Max Guérout et Thomas Romon, archéologues sur l’île de Tromelin,
- Anne-Laure Dijoux, archéologue et docteur en archéologie sur l’île de La Réunion,
- Henriette Yague, doctorante sénégalaise au sein de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar
- et les historiens Myriam Cottias et Antonio de Almeida Mendes, chercheurs au sein du Centre international de recherches sur les esclavages et post-esclavages (CIRESC).