Affiche de l'exposition «Tromelin, l'île des esclaves oubliés» au Musée de l'Homme à Paris, jusquau 3 juin 2019. © S.Savoia, Collection Aire Libre, Dupuis & JF Rebeyrotte

Pourquoi raconter des histoires de l’esclavage ? À partir de quelles traces, souvent occultées effacées ? Comment réinscrire, dans notre histoire, les trajectoires individuelles de tous ceux qui ont subi et subissent encore l’esclavage ?

À l’occasion de la Journée de commémoration de l’esclavage en France, le 10 mai, entretiens avec :

  • Max Guérout et Thomas Romon, archéologues sur l’île de Tromelin,
  • Anne-Laure Dijoux, archéologue et docteur en archéologie sur l’île de La Réunion,
  • Henriette Yague, doctorante sénégalaise au sein de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar
  • et les historiens Myriam Cottias et Antonio de Almeida Mendes, chercheurs au sein du Centre international de recherches sur les esclavages et post-esclavages (CIRESC).

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